FESTIVAL DE BERLIN
2007
Rézo Films
présente
une production
Beta Cinema
LES FAUSSAIRES
(DIE FÄLSCHER)
un film
de
Stefan Ruzowitzky
d’après
« L'Atelier du Diable »,
écrit
par Adolf Burger
avec
Karl Markovics
August Diehl
Devid Striesow
a.m.o
Allemagne / 2007 / 98min / 1/1,85
SORTIE LE 6 FEVRIER 2008
DISTRIBUTION RELATIONS
PRESSE
REZO FILMS Bossa Nova / Michel Burstein
29 rue du Faubourg
Poissonnière 32 bd
St Germain
75008 Paris 75005
Paris
Tél : 01 42 25 11 32 Tél :
01 43 26 26 26
www.rezofilms.com bossanovarp@free.fr www.bossa-nova.info
Synopsis
Berlin, 1936, Salomon "Sally"
Sorowitsch est le roi des faussaires, expert en billets de banque. Juif trahi
sous l'Allemagne nazie, il est arrêté par la Gestapo et interné dans le camp de
Mauthausen. Mais Sally est vite transféré dans un camp de première classe à
Sachsenhausen.
Accueilli par le commissaire Herzog, qui
dirige ici une opération secrète, les nazis souhaitent qu'il collabore à
l'Opération Bernhard : affaiblir l'économie des alliés.
Avec le soutien d'experts juifs triés sur
le volet, Sorowitsch est désormais chargé d'imprimer à grande échelle des
devises étrangères. Si leur travail n'est pas couronné de succès, les
faux-monnayeurs seront exécutés. Il ne s'agit plus de sauver sa peau à tout
prix mais d'interroger sa conscience.
Le film est inspiré d'un fait réel
retranscrit dans un livre " L'Atelier du Diable" de Adolf Burger,
l'un des survivants du camp ayant participé à l'opération Bernhard.
NOTES DE PRODUCTION
L’Opération Bernhard
LES
FAUSSAIRES relate l’histoire de l’atelier qui fut au cœur de l’Opération Bernhard.
Lancé en 1942, ce dispositif découlait d’un plan secret établi par les Nazis
sous la direction de Bernhard Krüger, à l’époque inspecteur des finances
spécialiste en fausse monnaie. L’objectif consistait à contrefaire livres
sterling et dollars américains en vue d’affaiblir les économies de ces deux
principaux adversaires, afin de gagner la guerre.
C’est
dans les camps de concentration que les Nazis recrutèrent leur main d’œuvre.
Des imprimeurs, illustrateurs, typographes, tous juifs, furent transférés au
camp de Sachsenhausen en vue d’exécuter l’Opération
Bernhard. Isolés du monde extérieur, les prisonniers des blocs 18 et 19 furent contraints
de travailler comme contrefacteurs dans le cadre de cette action top secrète.
Produire
de la fausse monnaie était la principale activité de cette cage dorée, comme
l’appelaient les détenus, mais y étaient aussi imprimés, à l’intention des
services secrets, faux papiers et passeports. Environ 134 millions de livres
sterling furent contrefaites, soit le triple des réserves monétaires de
Séparés
des prisonniers ordinaires, les détenus bénéficiaient de bien meilleures
conditions d’internement que le reste des résidents. Ils mangeaient à leur
faim, disposaient chacun d’un lit dans des casernes chauffées, du tabac de
qualité, la radio...Le Kommandant, qui leur avait fait don d’une table de
ping-pong, organisait de temps à autres des tournois afin de maintenir leur
moral. Dispensés d’uniforme, ils n’ignoraient cependant pas que les vêtements
qu’ils portaient provenaient de juifs gazés. La menace de mort planait sans
cesse, au cas où leur production ne serait pas conforme, ou sabotée. La plupart
d’entre eux suspectaient que le seul fait d’être au courant de cette opération
les y condamnait de toute façon, et qu’une fois celle-ci achevée, ils seraient
d’office éliminés. Les problèmes médicaux étaient aussi une crainte du groupe.
Toute hospitalisation était périlleuse pour maintenir l’opération secréte aux yeux de tous.
C’est
donc dans la crainte constante de la mort qu’ils mirent au point les premières
plaques tout en s’efforçant tant bien que mal d’appliquer différentes
stratégies destinées à retarder la production par autant d’impressions
défectueuses que possible, quand bien même ils étaient tout à fait conscients
qu’ils ne pourraient saboter indéfiniment le projet sans risquer leur propre
vie.
Aussitôt
qu’ils parvinrent à imprimer les premières livres sterling parfaites, ils
reçurent l’ordre d’enchaîner sur les dollars américains. Krüger ajouta alors en
1944 une nouvelle recrue à l’atelier : Salomon Smolianoff,
un artiste juif russe connu en son temps comme le meilleur contrefacteur. C’est
de lui qu’est inspiré Salomon
Sorowitsch, le personnage central du film. Tout comme ce dernier, Smolianoff
doit son incarcération bien avant le début de la guerre au fait d’être resté
une nuit de trop dans les bras d’une jolie femme. C’est le Kommandant du camp,
Friedrich Herzog, qui arrête Sorowitsch dans LES FAUSSAIRES. Dans la réalité ce
fut Bernhard Krüger lui-même qui plaça le véritable Sorowitsch derrière les
barreaux. Interné au camp de Mauthausen dès 1939, Smolianoff se rendit utile
aux gardiens SS en tant que peintre et portraitiste. Il fut ensuite transféré à
l’atelier de contrefaçon de Sachsenhausen en 1944.
L’année
s’acheva toutefois sans que Smolianoff ait produit le moindre dollar
exploitable, le groupe ayant réussi à différer de plusieurs mois le processus
d’impression. Réticent à participer aux actions de sabotage de ses confrères,
le maître faussaire œuvra quant à lui de son mieux afin de démontrer ses
talents, pendant que les autres altéraient délibérément la gélatine nécessaire
à l’impression. A peine le premier exemplaire parfait fut-il produit que les
Alliés étaient en chemin, et les Allemands n’étaient plus en mesure de
contrefaire à grande échelle la monnaie américaine.
La fin de « l’Opération Bernhard »
Dans LES
FAUSSAIRES, Sorowitsch et ses co-détenus sont libérés de Sachsenhausen. En
réalité, les deux blocs furent démantelés dès l’effondrement du front de l’Est
début 1945 lorsque les Russes traversèrent l’Oder en direction de Berlin. Les prisonniers
et leur atelier furent alors transférés dans les Alpes et finalement
réinstallés dans le camp Ebensee, dans le Salzkammergut autrichien, d’où ils
furent libérés par l’armée américaine. L’approche des forces alliées empêcha
les Nazis de dénicher un endroit suffisamment sûr pour cacher les stocks de
fausse monnaie, ce qui explique pourquoi les SS jetèrent des caisses entières
de fausses livres sterling dans le Lac Toplitz en mai 1945.
On perdit
toute trace du maître faussaire Smolianoff après sa libération. Selon certains,
il joua, et perdit de grosses sommes d’argent au casino à Monte Carlo, peu
après la fin de la guerre. Très vite inscrit, de par son activité de faussaire,
sur la liste internationale des personnes recherchées, il aurait également
contrefait des visas d’émigration pour des Juifs désireux de se rendre en
Palestine. Décédé en Argentine dans les années 1960, il aurait selon toute
vraisemblance passé ses dernières années à « revisiter » les tableaux
des grands maîtres.
« Le Trésor du Lac Toplitz » : Une véritable
Légende
Sous le
titre Geld wie Heu (Des Tonnes d’Argent), le magazine Stern
rendit compte en 1959 de la sensationnelle découverte de fausses livres
sterling anglaises dans le lac Toplitz à Styria, dans le comté de Salzkammergut,
en Autriche. Neuf caisses de fausse monnaie, ainsi que des archives secrètes
des SS, y furent repêchées. L’information parue, de plus en plus de rumeurs
circulèrent à propos des réserves d’or et d’œuvres d’art volées par le
Troisième Reich, prétendument immergées dans le lac Toplitz.
Les habitants se souvenaient comment, à la fin de la guerre, les soldats
allemands les avaient obligés à les emmener dans leurs embarcations afin
d’aller couler dans le lac de mystérieuses caisses… D’où la légende de l’or
coulé, et la transformation du lac en Mecque pour les chasseurs de trésors du
monde entier.
D’une
étendue d’environ
INTERVIEW DE STEFAN RUZOWITZKY
- Vos
précédents films, comme LES FAUSSAIRES, ont en commun d’être tous très
différents.
De prime abord, peut-être, mais en fait, je
continue à me focaliser sur mon sujet favori : l’idéalisme. Qu’il s’agisse
de TEMPO, de THE INHERITORS ou d’ANATOMIE, mes films traitent toujours de
jeunes héros qui, confrontés à un nouveau monde empreint d’idéalisme, se voient
forcés par la cruauté même de ce monde à reconsidérer leur conception de la
vie. LES FAUSSAIRES adopte cependant une approche différente, car jamais je
n’avais été en mesure de décrire la tension entre idéalisme et pragmatisme de
manière si dramatique et existentielle.
- Comment
s’est fait LES FAUSSAIRES ? Quelle est l’origine du film ?
Dans ce cas précis, il m’est possible d’affirmer que c’est le
sujet qui est venu à moi. En l’espace de deux semaines, il m’a été proposé par
deux sociétés de production totalement indépendantes l’une de l’autre. C’était
à n’en pas douter un signe du destin !
- Quels
sont, ou étaient, vos rapports avec Adolf Burger ?
Pour moi, l’instant le plus émouvant a sans aucun doute été celui
où Burger et Plapper, les deux derniers survivants, sont venus sur le plateau.
Je me suis dit : « Mon Dieu, ce n’est pas seulement du cinéma que
nous sommes en train de faire, c’est une page de l’Histoire qui s’est
réellement passé, et toutes ces épreuves, ces deux hommes les ont vécues». Au
cours du trajet, ils s’étaient disputés à propos de cette question : « le
Kommandant SS de l’atelier était-il un meurtrier, ou un sauveur ? ». C’était
exactement le propos du film.
- Comment
décririez-vous la situation dans laquelle se sont retrouvés les
faussaires ?
J’ai le sentiment qu’il s’agit là, fondamentalement, de questions
aussi contemporaines qu’universelles. D’où ma fascination pour ce
paradoxe : est-il possible de jouer au ping-pong dans un camp de
concentration alors qu’à quelques mètres plus loin, d’autres êtres humains sont
torturés à mort ?
- LES
FAUSSAIRES est relatée de manière exaltante, presque comme un thriller. Traiter
le sujet de cette manière vous a-t-il fait douter ?
Actuellement, il nous faut parler de l’Holocauste et nous avons
l’obligation morale de le faire d’une manière qui puisse toucher le plus de
spectateurs possible. Alors, oui, un film qui traite de l’Holocauste peut-être
exaltant et divertissant, mais dans le meilleur sens du terme.
- Pourquoi
votre film s’achève-t-il de manière conciliante ?
A l’issue du film, il est clair que Burger et Sorowitsch, de même
que tous les autres survivants du camp, auront à gérer les séquelles de cette
douloureuse expérience jusqu’à la fin de leur vie, et se poseront notamment la
question de savoir pourquoi ils ont survécu là où tant d’autres sont morts.
- L’époque
nazie vous intéresse-t-elle tout particulièrement ?
Lorsque vous vivez dans un pays tel que l’Autriche, dans lequel
des partis populistes d’extrême-droite tels que FPO et BZO, intolérablement
proches de l’idéologie nazie, recueillent régulièrement près de 20% des
suffrages et sont même autorisés à gouverner le pays, ce qui est tout aussi
intolérable, vous éprouvez tout naturellement le besoin d’évoquer de temps à
autres le sujet.
C'est un chapitre peu connu de l'histoire de
Typographe de formation, le jeune Adolf
Burger entame sa carrière de faussaire dès 1939. Dans une imprimerie
clandestine du parti communiste, il imprime pendant trois ans des faux
certificats de baptême pour sauver ses coreligionnaires slovaques de
« Il m'a demandé : 'Vous êtes Monsieur
Burger'. Moi j'ai bégayé 'oui', parce qu'ils ne nous appelaient jamais par nos
noms dans ce camp, seulement par nos matricules. Et puis il a demandé 'Vous
êtes typographe ?' et j'ai répondu à nouveau 'oui'. Alors il s'est levé et a
dit : 'M. Burger, vous allez demain à Berlin, où on a besoin de gens comme
vous, d'imprimeurs. Vous allez à nouveau pouvoir travailler comme un homme
libre !'. Je n'ai pas cru un mot de ce qu'il m'a dit, parce que le camp de
Birkenau était sous l'ordre « N.N », Nacht und Nebel - Nuit et brouillard - ce
qui signifiait que personne ne devait en sortir vivant. »
Dès le lendemain matin, Adolf Burger est
mis en quarantaine avec sept autres imprimeurs juifs. Une fois assurés qu'ils
n'étaient pas malades, les SS les font monter dans un train en direction de
Berlin. La destination finale est en réalité, le camp de concentration de
Sachsenhausen, en bordure de la ville : « Et c'est ainsi que je me suis
retrouvé dans la plus secrète des affaires des nazis, l'atelier de contrefaçon
des SS. On était 140, que des Juifs qui auraient tous dû être liquidés et
partir en fumée, mais finalement ça s'est passé autrement... »
Pendant deux ans, Adolf Burger et les 139
autres imprimeurs vont fabriquer des billets de banque, des faux documents et
des timbres. Des Livres sterling d'abord, en énorme quantité. Une opération
tellement secrète que même le chef du camp de Sachsenhausen ne connaissait pas
l'existence de l'atelier. Quand les imprimeurs sortaient pour aller se laver -
parce que les nazis les envoyaient se laver une fois par semaine pour ne pas
qu'ils ne tombent malades - tout le camp était fermé, aucun détenu n'avait même
le droit de regarder par la fenêtre :
« 131 millions de Livres sterling, des
passeports anglais, américains, suisses ; contre les soviétiques on
faisait des cartes du NKVD, et des documents du monde entier pour les espions
nazis. Et puis ils ont commencé à vouloir faire des dollars. Mais pour faire
des dollars, il fallait une technique différente. Et le seul acte de sabotage
qu'on a pu faire a été de retarder de quelques semaines la fabrication de la
gélatine nécessaire. Mais on n'a pas pu retarder longtemps parce qu'ils nous
ont menacé de mort. Et les deux premières centaines de billets qu'on a
fabriquées était parfaites... mais c'était trop tard pour eux, les Russes
étaient à
Transporté de camp en camp à travers le
Reich avec les autres imprimeurs et l'atelier en « pièces détachées »,
Adolf Burger arrive d'abord à Mauthausen, puis finalement à Ebensee, où les
nazis voulaient les exterminer. Mais, en ce début du mois de mai 1945, les
Américains sont à quelques kilomètres, et les résistants autrichiens crèvent
les pneus des camions qui doivent les emmener vers la mort...
De retour à Prague après sa libération,
il raconte à la police tchécoslovaque les détails de la plus grosse opération
de contrefaçon de billets de banque de l'Histoire.
« Les Anglais ont interdit que l'on parle
de toute cette affaire au procès de Nuremberg. L'économie britannique aurait
fait faillite si cette affaire avait éclaté au grand jour après
Adolf Burger, continue de raconter son
expérience dans les écoles et universités allemandes, tout en restant discret
sur sa vie après la guerre.
Adolf Burger conserve toujours chez lui
quelques exemplaires des billets qu'il a fabriqués il y a plus de 60 ans. A sa
connaissance, ils sont seulement deux anciens faussaires de l'Atelier du Diable
encore vivants aujourd'hui.
Source : www.radio.cz
Par Alexis Rosenzweig
– Droits réservés
STEFAN RUZOWITZKY
(Scénariste - Réalisateur)
Stefan Ruzowitzky est né à Vienne en 1961. Après des
études de théâtre et histoire, il suit des cours et séminaires
cinématographiques sous l’égide de talents tels que Syd
Field, Zdenek Mahler et Vilmos Zsigmond.
Dans la première moitié des années 80, il travaille pour le théâtre et
écrit plusieurs pièces pour la radio autrichienne ORF. A partir de 1987, il
réalise pour la télévision, la publicité, et des vidéos musicales. En 1996, il
réalise son premier long-métrage TEMPO, qui remporte le Max Ophüls
Award en 1997. Son film suivant, THE INHERITORS
(1997), se vend dans plus de 50 pays et est projeté dans de nombreux festivals
internationaux, récoltant notamment le Tiger Award à Rotterdam. THE INHERITORS représenta également
l’Autriche pour l’Oscar du Meilleur Film Etranger en 1999. Auteur depuis du
très couru thriller ANATOMIE en 2000, d’ALL THE QUEEN’S MEN en 2001 et d’ANATOMIE
2 en 2002, il figure parmi les meilleurs réalisateurs européens.
DEVANT LA CAMERA
KARL Markovics
(Salomon Sorowitsch)
Reconnu internationalement grâce au
feuilleton « Rex : a Cop’s Best Friend »,
l’acteur autrichien Karl Markovics a tourné dans plus
de 14 longs métrages, dont LATE SHOW en 1998, réalisé par Helmut Diehl et ALL
THE QUEEN’S MEN en 2001, de Stefan Ruzowitzky. Il apparaît également
régulièrement au théâtre.
Filmographie sélective
Titre Réalisateur
2006 Les Faussaires Stefan
Ruzowitzky
2005 Mein Mörder (TV) Elisabeth
Scharang
2004 Die
Schrift des Freundes (TV) Fabian
Eder
Familie auf Bestellung (TV) Urs
Egger
2002 Andreas
Hofer-Freiheit des Adlers X.Schwarzenberger
2001 Die
Männer ihrer Majestät Stefan
Ruzowitzky
2000 Komm, süsser Tod Wolfgang Murnberger
1999 Geboren in Absurdistan Houchang Allahyari
1998 Late
Show Helmut
Dietl
Drei Herren Nikolaus Leytner
Der Strand von Trouville Michael
Hofmann
1995-96 Stockinger (TV) Jörg Grünler
1994-96 Kommissar Rex (TV) O.Hierschbiegel,A.Prochaska
1994 Indien Paul Harather
AUGUST DIEHL
(Adolf Burger)
Considéré comme l’un des plus grands acteurs allemands
actuels, August Diehl a exercé
son talent aussi bien sur les planches que sur le grand écran. Les critiques
lui ont consacré plus de dix récompenses allemandes et internationales, dont
l’European Shooting Star des Berlinales
et le DIVA Award en tant qu’acteur de l’année en
2005. Parmi les films qui lui ont valu sa réputation figurent DISTANT LIGHTS,
de Hans Christian Schmid en 2003, LOVE IN THOUGHTS de Achim Von Borries en 2004 et THE NINTH DAY de Volker Schlöndorff en
2004.
Filmographie sélective
Titre Réalisateur
2006 Les Faussaires Stefan
Ruzowitzky
Nichts als
Gespenster Martin
Gypkens
Slumming Michael Glawogger
Ich bin
die Andere Margarethe von Trotta
2005 Kabale und Liebe Leander
Haussmann
2004 Der neunte Tag Volker
Schlöndorff
2003 Was
nützt die Liebe in Gedanken Achim Von Borries
Anatomie 2 Stefan
Ruzowitzky
2002 Lichter Hans-Christian
Schmid
Tattoo Robert
Schwentke
2001 Love
the hard way Peter
Sehr
2000 Kalt ist
der Abendhauch Rainer Kaufmann
DEVID STRIESOW
(Friedrich Herzog)
Devid Striesow a fait des débuts très remarqués en 2000
dans COLD IS THE EVENING BREEZE, de Rainer Kaufmann. S’ensuivirent DISTANT
LIGHTS, de Hans Christian Schmid en 2003, aux côtés d’August Diehl, NAPOLA de
Dennis Gansel en 2004 et THE RED COCKATOO, de Dominik Graf en 2005, film qui l’imposa comme acteur de
grand écran. En 2004, il gagna l’Alfred Kerr Acting Award,
et fut nommé meilleur espoir de l’année par Theater Heute.
Filmographie sélective
Titre Réalisateur
2006 Les Faussaires Stefan
Ruzowitzky
Das Herz ist
ein dunkler Wald Nicolette Krebitz
Yella Christian
Petzold
2005 Die
Boxerin Catharina
Deus
Der Rote Kakadu Dominik Graf
Falscher Bekenner Christoph Hochhäusler
2004 Marseille Angela
Schanelec
Der Untergang Oliver
Hirschbiegel
Napola-Elite für den Führer Dennis Gansel
2003 Sie haben Knut Stephan
Krohmer
2002 Mein erstes Wunder Anne Wild
Lichter Hans-Christian
Schmid
2001 Was
tun wenn’s brennt Gregor Schnitzler
2000 Kalt ist
der Abendhauch Rainer Kaufman
MARIE BÄUMER
(Aglaia)
Marie Bäumer
était déjà très connue
au théâtre et à la télévision allemande avant ses débuts fracassants au cinéma
en 1995 dans la comédie à succès JAILBIRDS, de Detlev
Buck. Marie Bäumer n’a pourtant jamais abandonné les
planches, où elle continue de se produire alternant avec ses apparitions à
l’écran. Dernièrement, le public étranger l’a notamment vue dans ANGST (2003),
réalisé par Oscar Roehler, et tout récemment dans
DRESDEN-THE INFERNO (2006), de Rolan Suso Richter.
Filmographie sélective
Titre Réalisateur
2006 Les Faussaires Stefan
Ruzowitzky
Muttis Liebling Xaver Schwarzenberger
2005 Nachtschicht-Tod im Supermarkt(TV) Lars Becker
2004 Ein Toter Bruder Stefan
Khromer
2003 Der alte Affe
Angst Oskar
Roehler
2002 Poppitz Harald Sicheritz
Napoléon
(TV) Yves
Simoneau
2001 Der Schuh
des Manitu Michael
Bully Herbig
1995 Männerpension Detlev Buck
DOLORES CHAPLIN
(la Femme Rousse)
Petite-fille de Charlie Chaplin, fille de Michael Chaplin et
sœur de Carmen Chaplin, Dolores Chaplin vit en France et a pris
part à diverses productions, dont
FICHE ARTISTIQUE
Salomon Sorowitsch Karl Markovics
Adolf Burger August Diehl
Friedrich Herzog Devid Striesow
Aglaia Marie Bäumer
Holst Martin Brambach
Atze Veit Stübner
Dr. Klinger August Zirner
Zilinski Andreas Schmidt
Kolja Sebastian Urzendowsky
La femme rousse Dolores Chaplin
FICHE TECHNIQUE
Réalisateur / Scénariste Stefan
Ruzowitzky
d’après le livre l’Atelier du Diable de Adolf BURGER
Producteur s Josef Aichholzer
Coproducteurs Caroline VON SENDEN
Henning
MOLFENTER
Dr
Carl WOEBCKEN
Directeur de la
photographie Benedict Neuenfels
Monteuse Britta Nahler
Chef décorateur Isidor
Wimmer
Musique Marius RUHLAND
Costumière Nicole
Fischnaller
Maquilleur Waldemar Pokromski