C a n n e s 0 5 -
Q u i n z a i n e d e s R e a l i s a t e u r s
concourant pour
Weinstein Acquisition Co and Arclight
présentent
Un film de
Greg McLean
avec
John Jarratt
Nathan Phillips
Cassandra Magrath
Kestie Morassi
Relations
Presse
Michel Burstein
/ Bossa-Nova
32 bd st germain
– 75005
Tel 01 43 26 26 26 Fax 01 43 26 26 36
bossanova@compuserve.com
Mick
Liz Hunter
Cassandra
Magrath
Kristy Earl Kestie Morassi
Old Man Gordon
Poole
Vendeur de
Voiture
Guy
O’Donnell
Garagiste Phil
Stevenson
Pompiste Geoff
Revell
Copin
Mum Flashback
Girl Flashback
Randonneur
irlandais David
Rock
Randonneur
suédois Jenny
Starvall
Randonneur
suédois #2 Guy
Petersen
FICHE
TECHNIQUE
Réalisateur / Scénariste /
Producteur Greg McLean
Producteur David Lightfoot
Co
Producteur / Producteur Exécutif Matt
Hearn
Producteurs Exécutifs Gary Hamilton
Michael Gudinski
Directeur de
Montage Jason
Ballantine
Chef Décorateur Robert
Webb
Costume Nicola
Dunn
Maquillage / Coiffure Jen
Lamphee
Maquillage Effets
Spéciaux Connelly Make-up FX
Team
Compositeur Francois
Tetaz
Casting Angela
Heesom
Directeur de
Directeur Financiers Trudy
Talbot
Montage Script Mac
Gudgeon
Réalisateur 2ème
équipe Matt
King
Régisseur Anna
Molyneaux
1er Assistant Réalisateur Ric
Beecroft
Distribution
Ventes Internationales
Arclight Films
Patenaires Film
finance Corporation Australia
South Australian Film Corporation
Production The True Crime Channel
Trois jeunes randonneurs quittent leur ville
d'Australie pour trois semaines de trekking dans le désert australien. Ils en
profitent pour aller admirer Wolf Creek, un cratère causé par un météorite
vieux de plusieurs milliers d'années. Cette nuit-là ils retrouvent leur voiture
en panne. Lorsque un autochtone leur propose de l’aide, ils se croient sauvés.
Pourtant, le vrai cauchemar commence...
« L’idée qui préside
à Wolf Creek est dans ma tête depuis environ six ans » explique
Greg McLean, producteur, scénariste et réalisateur de
Wolf Creek, « lorsque j’ai écrit la première version du film. Il y
avait au départ la notion d’un personnage terrifiant, solitaire, vivant dans le
désert australien. Un personnage qui est tout le contraire des clichés du
bushman australien classique, véhiculé par des films comme Crocodile Dundee ou
Steve Irwin (cascadeur, animateur de télé et faux tueur de crocodiles ayant
joué notamment dans Dr Doolittle 2). A savoir
sain, débrouillard, éternellement content, avec un charme naïf et une vision
enfantine du monde. Ce sont deux de nos plus populaires exportations
culturelles, mais qu’adviendrait-il si nous imaginions un personnage illustrant
les aspects les plus sombres, les plus sinistres et les plus monstrueux de cet
archétype australien. Si nous imaginions un Boogieman
(père fouettard) typiquement australien. Au fur et à mesure que le
scénario se construisait, plusieurs
« vrais Boogiemen »
australiens sont réapparus. Des personnages si horribles que c’était comme si
eux et leurs crimes jaillissaient directement de l’imagination d’un écrivain
dont le but serait de nous épouvanter, et de faire cesser à coup sûr les virées
du dimanche après-midi dans la campagne australienne.
Ivan Milat
(le tueur de campeurs), Bradley Murdoch (responsable du massacre de Peter Falconio) et les tueurs en série de Snowtown
ont abasourdi les Australiens et terrifié les observateurs étrangers. Ils ont
commis des crimes caractérisés par une violence jamais égalée, une brutalité et
un sang-froid hors du commun. L’Australie, autrefois la plage favorite du monde
entier, devint un endroit où des hommes solitaires, désaxés, et obsédés par le
meurtre arpentaient des autoroutes désertées, à la recherche de touristes
vulnérables et loin de chez eux.
Alors que Wolf Creek n’est
basé sur aucune histoire ni aucun cas particulier, Mick Taylor
est le bâtard de tous ces hommes et de leurs crimes affreux.
« C’était mon
intention de faire de Wolf Creek un film inoubliable, choquant et vraiment
effrayant. Et qui soit aussi nettement australien. Le style général du film m’a
été fortement inspiré par l’intrusion du Dogme dans le cinéma européen. Par
l’arrivée des cinéastes danois menée par Lars Von
Trier, à l’origine d’une révolution numérique. Ces metteurs en scène se
libéraient du fardeau des films à gros budget : décors naturels, éclairage
et bruitage sonore réduits, tournage en vidéo numérique, et concentration de
toute leur énergie sur des récits novateurs
et le jeu des acteurs .
J’ai sincèrement admiré
leur cinéma original et audacieux : Parmi eux, Breaking
the Waves, Les Idiots, Festen (Thomas Vinterberg) et Dancer in The Dark.
Et même si nombre de leurs idées de départ furent écartées au fur et à mesure
de leur succès, elles servirent à prouver que filmer de cette façon recentre un
film sur ses éléments essentiels et repose la question suivante: de quoi
avez-vous besoin pour faire un bon film ?
Leur réponse était : une grande idée, d’excellents acteurs et une
caméra numérique. J’ai d’ailleurs tourné Wolf Creek avec une caméra haute-définition et des objectifs adéquats, également
utilisés pour Star Wars Episodes 1 et 2 et Desperado
2 : Il était une fois au Mexique (de Robert Rodriguez).
J’ai mis en application
d’autres éléments du Dogme, économie de moyens, importance du script et du jeu
des comédiens. Ainsi que mes éléments préférés du film d’horreur
classique : un récit à l’épine dorsale solide, peu de personnages, un lieu
isolé et un monstre unique et inoubliable. J’ai décidé, probablement dans mon
subconscient, de mélanger tout ça pour créer Wolf Creek. »
« De plus, J’ai
toujours adoré depuis l’enfance les films d’épouvante, de science-fiction et
d’horreur. J’ai longuement étudié la peinture et le dessin, je me destinais du
reste au métier de peintre, et je remplissais mes carnets de dessin des
monstres de « Conan le
Barbare », des super-héros des Marvel Comics, des personnages de
La réaction au film,
jusqu’à présent, a été intense et fascinante. Que ce soit dans un sens positif
ou négatif, tout le monde a été touché par Wolf Creek ; ce qui est bien
parce que tout est mieux qu’une réaction terne ou inexistante. Wolf Creek est
définitivement une œuvre que j’ai essayé de transformer en engin explosif
cinématographique. Ca m’excite beaucoup de faire naître ce film et de voir
quelle vie il a , une fois que lui et le Boogie Man qu’il contient sont lâchés. »
Il y a dans le film des
séquences extrèmement violentes. Greg McLean fait tout de suite remarquer que l’usage de la
violence dans le film a été soigneusement pensé : « Wolf Creek contient
des scènes explicites et denses, des scènes dérangeantes. Cela dit, mon film
explore le côté sans éclat et banal de la violence puisqu’il est par certains
côtés la plongée d’un voyeur dans le monde du mal à l’état pur. Je crois que
c’est
Sur le fait que Wolf Creek
ait été accepté par le festival de Sundance, Greg McLean déclare : « J’ai toujours aimé les
histoires avec lesquelles j’ai grandi, sur des lumières étranges dans le ciel,
des Ovnis et sur des gens qui disparaissent lors d’un voyage dans le désert.
L’Australie est un pays magique avec des aspects étonnants et pourtant
terrifiants, et je voulais vraiment mettre un visage sur la peur innommable de
ce qui rode la bas, sur ces grandes autoroutes solitaires. Pour quelqu’un
qui a grandi dans une petite ville et
qui a vu quelques uns de ses héros participer aux plus grands festivals et
débuter leur carrière (Steven Sodebergh avec Sexe,
mensonges et Vidéo, Spike Lee et Do The Right Thing, Quentin Tarantino et Reservoir dogs), c’est un grand honneur et la réalisation d’un rêve
d’être invité à présenter notre petit film d’horreur dans le pays qui a
réellement inventé le genre. »
Dès le départ, Greg précisa
à la directrice de casting Angela Heesom
que récupérer des grands noms d’acteurs pour Wolf Creek n’était pas à l’ordre
du jour. « La seule chose importante , c’était
de voir dans quelle mesure les acteurs seraient détendus et naturalistes dans
leur jeu et à quel point ils comprendraient le style du film, c’est à dire une
mise à distance de l’action. Cassandra, Nathan et Kestie furent un cadeau du ciel, parce que non seulement ce
sont des comédiens formidables mais ils ont incarné totalement l’esprit du
film. Et John Jarratt, le vétéran, avait une telle
maîtrise de lui sur le plateau…. Bref, c’était un cast
de rêve. Je pense vraiment que bien mettre
en scène c’est avant tout savoir
choisir son casting. Dans le cas de Wolf Creek, il donne au film sa qualité
organique et son rythme propre. »
J’ai toujours voulu que le
style graphique de Wolf Creek soit ultra réaliste et semi documentaire. En
recréant, presque image par image, les dessous d’une véritable affaire
criminelle. La raison qui m’a poussé à aller dans ce sens est que lorsqu’il y a
un élément de « vérité » associé à un film d’horreur, les spectateurs
deviennent plus facilement complices. Des faits basés sur la réalité permettent
au public de croire en ce qu’il voit et ainsi de le rendre plus réactif. J’ai
d’autres prédécésseurs : L’Exorciste (William Friedkin), Amityville, la maison
du Diable (Stuart Rosenberg), Massacre a la tronçonneuse (Tobe
Hooper), et Blair Witch
Project (Daniel Myrick et Eduardo Sanchez). Tous ces
films ont joué avec l’idée qu’ils étaient basés sur des évènements réels. C’est
Stephen King qui disait : « Si on n’y croit pas, il n’y a pas de peur
possible. »
Cette maxime du maître de l’horreur a constamment prévalu à la préparation de
Wolf Creek.
Le film a été entièrement
post-produit à Adelaide, Australie du Sud, par
COLLABORATION ARTISTIQUE
JOHN JARRATT (MICK TAYLOR)
John Jarratt
revient au grand écran dans le rôle du sanguinaire
Mick Taylor. Depuis 73, date de son diplôme de
A son palmarès : Pique-Nique à Hanging Rock (Peter
Weir-1975), We of the never never (Igor Auzins-1982), The Odd Angry
Shot (Tom Jeffrey-1979), Dead
Heart (Nick Parsons-1996) et All Men
Are Liars (Gerard Lee-1995)
pour lequel l’acteur a obtenu de nombreuse récompenses. A son actif également
plusieurs séries de télévision dont McLeod’s Daughters (1996) et Better Homes and Gardens (1996).
CASSANDRA MAGRATH (LIZ HUNTER)
Issue d’une longue lignée
d’acteurs et de danseurs, Cassandra Magrath débute sa carrière à l’âge de 11 ans, désireuse de
jouer depuis déjà longtemps. La jeune femme se souvient notamment qu’en classe
de CM1 elle déclara à sa maîtresse d’école que plus tard elle serait
comédienne, provoquant ainsi l’hilarité de ses camarades.
Inscrite par sa mère à une
agence de casting, peu de temps après cet épisode, Cassandra
est prise dès sa première audition pour jouer Zoe
dans le programme pour enfants, Ocean Girl
(1994-1995). Seule exigence déroutante, une étrange coupe de cheveux imposée par les producteurs.
Happée par la télé
australienne, la très jeune comédienne s’impose rapidement dans d’autres
séries, The Wayne Manifesto
(1996), Hotel de Love (1996), Sea
Change (1998) dont elle apprécia particulièrement le personnage, Crash Zone
(1998) et Shock Jock
(2001).
Cassandra Magrath
adore également la photo et aime particulièrement saisir des visages à la
dérobée ainsi que le contraste entre la nature et les structures établies par
l’homme.
Wolf Creek est son deuxième
long-métrage après Hotel de Love (Craig Rosenberg)
tourné en 96.
KESTIE MORASSI (KRISTIE EARL)
Wolf Creek est le huitième
long-métrage de Kestie Morassi,
vite devenue l’une comédiennes australiennes les plus prolifiques
de sa génération. Avec des rôles dans des œuvres telle que Josh
Jarman (2004), Thunderstruck
(2004), Strange Bedfellows
(2004), Travelling Light (2003), Darkness Falls (2002, sorti en France sous le titre de Nuits de
terreur), The Merchant of Fairness
(2002) et Dirty Deeds
(2002), l’ensemble du travail de cette native d’Adelaide
démontre un registre de jeu imposant.
NATHAN PHILLIPS (BEN MITCHELL)
En quatre ans, Nathan Philipps a accumulé les rôles dans pas moins de sept
long-métrages. A commencer par Australian Rules (Paul Goldman), présenté au festival de Sundance en 2002. Suivent Warriors
of Virtue 2 (Michael Vickerman)
tourné en Chine,
L’année 2005 est celle du
grand écart entre l’adorable Philip de
L’ÉQUIPE
TECHNIQUE
Scénariste, réalisateur et producteur depuis plus
de dix ans, Greg McLean a travaillé pour le théâtre,
le cinéma et la télévision.
Formé aux Beaux-Arts, Greg McLean
rejoint le National Institut of Dramatic Art (NIDA)
où il obtient un diplôme de mise en scène. Il travaille avec l’un des metteurs
en scène de théâtre les plus respectés en Australie, Neil Armfield,
et les comédiens Geoffrey Rush, Cate Blanchett et Richard Roxburgh sur l’adaptation à succès d’Hamlet. Il intègre ensuite l’équipe de Baz Luhrmann et
Au cinéma, Greg McLean a
participé à plusieurs courts-métrages en tant que réalisateur ou producteur.
Son premier court métrage, Plead, a remporté le Gold Award de
l’Australian Cinematographers
Society (ACS). Son dernier, ICQ, a
participé à de nombreux festivals à travers le monde dont le New York
International Independent Film and
Video Festival, où il a gagné le prix du meilleur
metteur en scène. ICQ a également
reçu le Silver Award de la
photographie remis par l’ACS.
Sous la bannière de sa société de production GMF,
Greg McLean a produit et réalisé plusieurs dizaines
de publicités, films institutionnels et clips. Une activité qui lui a permis
d’expérimenter de nombreux styles de mise en scène, de méthodes de travail et
de techniques. Ces quatre dernières années, McLean a
écrit plusieurs scénarios dans des genres aussi variés que le thriller, le
drame et la comédie romantique. Wolf
Creek est son premier long-métrage.
David Lightfoot débute
comme stagiaire à
Après une décennie passée dans la publicité, le
marketing et le développement de produits, Matt Hearn devient producteur
exécutif pour la société australienne d’effets spéciaux, Rising
Sun Pictures, au sein de laquelle il travaille sur
des films tels que Fusion-The Core,
Gary Hamilton débute sa carrière en 1978 comme
rédacteur au sein de Hoyts Movie
News, seul magazine australien de l’époque sur le cinéma, pour lequel il devient
ensuite responsable de la publicité et de
En avril 2002, Hamilton créé Arclight
Films. Cette société de production et de ventes internationales s’associe avec The Spice Factory,
l’une des boîtes de production les plus prolifiques du Royaume-Uni. Leur
objectif est de produire et vendre des films à moyens et gros budgets en
capitalisant sur les subventions offertes en Europe, au Canada et en Australie.
L’an dernier, Hamilton inaugurait Darclight, une nouvelle division de la société consacrée
aux films de genres. A son actif:
Martin Fabinyi est l’un
des dirigeants de Mushroom. Producteur des films Gettin’ Square et Cut, producteur exécutif de Chopper et Horseplay, Fabinyi
a également travaillé à la production du documentaire Tribal Voice consacré au groupe de
musiciens indigènes australiens Yothu Yindi (diffusé sur
Fondateur de Mushroom
Records en 1972, Michael Gudinski est l’un des
dirigeants les plus productifs d’Australie. Le groupe Mushroom,
dont il est le patron, comprend les filiales Mushroom
Pictures, Mushroom Music Publishing, Frontier Touring et le label musical Liberation
Music. Gudinski a co-produit l’un des plus gros
succès australiens de l’année 2000, Chopper.
Il a aussi été responsable, via Mushroom Pictures, de la production exécutive des films Cut et Horseplay.
Le travail de Will Gibson
couvre un spectre très large de styles et formats. Luxueux spots de pub en
La carrière de Will
Gibson débute à Melbourne au sein de Lemac Films,
d’où sont issus les meilleurs techniciens australiens. « Travailler cinq
ans à Lemac m’a permis de toucher à la plupart des
postes techniques, d’ingénieur du son à monteur en passant par opérateur
caméra, confie Gibson. Dans un deuxième temps, je me suis spécialisé comme
caméraman, me faisant les dents sur différents styles et formats : clips,
films institutionnels, documentaires, télévision… En tant que directeur de
la photo, j’ai travaillé pendant plus de 9 ans dans la publicité et le
documentaire y apprenant à créer de belles images tout en respectant les
contraintes de temps et de budget. C’est ainsi que s’est bâtie ma
réputation. »
Wolf Creek est le premier
long-métrage de cinéma auquel participe Will Gibson.
ROBERT WEBB – CHEF
DÉCORATEUR
Robert Webb commence sa carrière comme directeur
artistique et décorateur sur des films d’époque, profitant de ses connaissances
acquises lorsqu’il était antiquaire. Il a travaillé sur de nombreux films
tournés dans le Sud de l’Australie.
« Les nombreux pôles artistiques au sein
desquels j’ai travaillé à Adelaide m’ont permis de
découvrir des lieux que je n’aurais jamais visités autrement. On me dit souvent
que les équipes de tournage ne peuvent plus se passer de mon enthousiasme
presque enfantin. Il est vrai que je me projette dans le scénario comme si
c’était moi qui le vivais. J’aime l’idée de donner vie à un script et je prends
un énorme plaisir à offrir tout ce qui est en mon possible pour y
parvenir. »
Wolf Creek est le premier long-métrage
de Robert Webb en tant que chef décorateur.
Nicola Dunn travaille
dans l’industrie de la mode et du cinéma depuis une décennie. Diplômée de
JASON BALLANTINE – MONTEUR
Né à Adelaide en 1970,
Jason Balantine possède une licence en Arts Visuels 1989-1992 de l’Université
d’Australie du Sud avec une spécialisation en Photographie. Durant ses études,
il remporte le S.A. Young Film Maker’s Award deux
années consécutives (90-91). Sa carrière professionnelle démarre en 1992 au
sein de
Ballantine est également professeur
agréé en montage AVID.
Wolf Creek est son premier long-métrage
en tant que chef monteur.
JEN LAMPHEE – COIFFURE ET
MAQUILLAGE
Depuis 14 ans, Jen Lamphee a travaillé pour une grande variété de films et
programmes télévisés. Sa carrière débute dans la coiffure et s’oriente très vite
vers des défis plus créatifs. Elle élargit sa palette en suivant une formation
au maquillage pour le théâtre et le cinéma. Après de l’assistanat sur des
téléfilms, elle fait sa première impression en tant que conceptrice des
coiffures et maquillages du film Kiss or Kill, lauréat du AFI Award.
Elle déménage alors à Melbourne, y travaille sur Hurrah and Crackers, puis s’installe à
Sydney où elle vit encore aujourd’hui. Jen a
collaboré aux séries télé Big Sky, Young Lions, Small Claims et la série de science-fiction
américaine Farscape.
Cette dernière, pour laquelle elle créait chaque semaine plusieurs dizaines
d’extra-terrestres, a prouvé son
savoir-faire et sa créativité en matière de maquillage prosthétique.
Parmi les films sur lesquels elle a exercé ses
talents, on trouve In a
Savage Land, Cut, Sample People, Subterano, Airtight et l’adaptation américaine du comic Marvel, Man Thing.
Elle vient de finir les tournages de Peaches, (avec Hugo Weaving) et Pobby and Dingan, le nouveau film de l’Anglais Peter Cattaneo (The Full Monty).
PETE BEST – MONTEUR ET
DESIGNER SON
L’ambition de Pete Best
est de faire honneur à son exceptionnelle notoriété au sein de l’industrie
cinématographique du Sud de l’Australie comme designer sonore et producteur, à
l’origine de travaux unanimement respectés aux niveaux local, national et
international.
RICK & CHARMAINE
CONNELLY – EFFETS SPÉCIAUX DE MAQUILLAGE
La carrière de Rick Connelly dans les effets spéciaux de maquillage débute en
1991 au sein de la filiale australienne de
Charmaine (Wade)
Connelly commence une carrière de coiffeuse en 1988
qui lui vaut, en 1993, le IHS Northern NSW Senior Hairdresser de l’année. Elle aborde une carrière de
maquilleuse en 1996 et, à partir de l’année suivante, suit les cours de Rick Connelly. Elle déploie
ensuite ses talents en coiffure, maquillage et maquillage prosthétique pour des
publicités, films et productions télévisées australiennes et internationales.
Elle enseigne également au sein de différentes écoles, dont les cours de Rick Connelly depuis 1998.
Rick et Charmaine se sont mariés en 1995
et ont créé
PETE SMITH – MIXEUR SON
Durant ses 25 ans d’expérience dans la post-production
sonore pour la télé et le cinéma, Pete a travaillé au
mixage de plus de 50 films et 22 séries télé parmi lesquels Look Both Ways, Anacondas (II),
Somersault,
Deck Dogz, Peaches, Thunderstruck, Japanese Story, The Nugget, Swimming Upstream, Inspecteur Gadget II, Honourable
Wally Norman, Paradise Found, Charlotte Gray, Tempted et Walk The Talk. Il a reçu 5 nominations et récolté 4 AFI Awards du meilleur son.
FRANCOIS TETAZ –
COMPOSITEUR
François Tetaz compose
des musiques pour le cinéma, le théâtre et divers autres supports. Il a
récemment mis en musique les films The Hard Word, Thunderstruck et Wolf
Creek, les ballets Tense Dave de Chunky
Move et Melt de Lucy Guerin ainsi que l’exposition de l’artiste Patricia
Piccinni à
François Tetaz a
longuement collaboré avec la compagnie de danse et de théâtre contemporains Chunky Move pour leurs spectacles
Arcade, Crumpled
and Corrupted, Crowds et, plus récemment, Tense Dave en 2003. Il a également travaillé pour les compagnies de Lucy
Guerin, Kage, Shelley Lassica et du chorégraphe Gerard
Van Dyke.
En tant que producteur de disques, on lui doit des
contributions auprès d’artistes tels que Lior, High Pass Filter,
Biftek, SNOG, Casanovas,
Paul Schutze, David Bridie,
Bucket Rider, Paul McDermott,
Selena Cross et James Anderson. Il est également
réputé pour ses installations au service de l’artiste de Melbourne, Patricia
Piccinni, pour des œuvres telles que Sandman en 2002 et We are Family en 2003.