C a n n e s 0 5  -  Q u i n z a i n e   d e s   R e a l i s a t e u r s

 

concourant pour la Caméra d'or

 

Weinstein Acquisition Co and Arclight

présentent

Wolf Creek

Un film de

Greg McLean

 

avec

John Jarratt

Nathan Phillips

Cassandra Magrath

Kestie Morassi

 

 

 

 

 

Relations Presse

Michel Burstein / Bossa-Nova

32 bd st germain – 75005 Paris

Tel 01 43 26 26 26  Fax 01 43 26 26 36

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FICHE ARTISTIQUE

 

 

Mick Taylor                                                               John Jarratt

Ben Mitchell                                                              Nathan Phillips

Liz Hunter                                                                 Cassandra Magrath

Kristy Earl                                                                  Kestie Morassi

Old Man                                                                    Gordon Poole

Vendeur de Voiture                                                 Guy O’Donnell

Garagiste                                                                  Phil Stevenson

Pompiste                                                                  Geoff Revell

Barry                                                                         Andy McPhee

Copin de Barry                                                         aron Sterns

Dad Flashback                                            Andrew Reimer

Mum Flashback                                                      Vicki Reimer

Girl Flashback                                                         Isabella Reimer

Randonneur irlandais                                             David Rock

Randonneur suédois                                              Jenny Starvall

Randonneur suédois #2                                       Guy Petersen


FICHE TECHNIQUE

 

Réalisateur / Scénariste / Producteur                     Greg McLean

Producteur                                                               David Lightfoot

Co Producteur / Producteur Exécutif                     Matt Hearn

Producteurs Exécutifs                                             Gary Hamilton

Simon Hewitt
Martin Fabinyi

George Adams

Michael Gudinski

Directeur de la  Photographie                                Will Gibson

Montage                                                                   Jason Ballantine

Chef Décorateur                                                      Robert Webb

Costume                                                                   Nicola Dunn

Maquillage / Coiffure                                               Jen Lamphee

Maquillage Effets Spéciaux                                    Connelly Make-up FX Team

Compositeur                                                            Francois Tetaz

Casting                                                                     Angela Heesom

Directeur de la Production                                      David Lightfoot

Directeur Financiers                                                Trudy Talbot

Montage Script                                                         Mac Gudgeon

Réalisateur 2ème équipe                                          Matt King

Régisseur                                                                 Anna Molyneaux

1er Assistant Réalisateur                                        Ric Beecroft

Distribution US                                                         Darclight Films/Mushroom Pictures

Ventes Internationales                                            Arclight Films

Patenaires                                                                Film finance Corporation Australia

South Australian Film Corporation

Production                                                               The True Crime Channel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

SYNOPSIS



 

Trois jeunes randonneurs quittent leur ville d'Australie pour trois semaines de trekking dans le désert australien. Ils en profitent pour aller admirer Wolf Creek, un cratère causé par un météorite vieux de plusieurs milliers d'années. Cette nuit-là ils retrouvent leur voiture en panne. Lorsque un autochtone leur propose de l’aide, ils se croient sauvés. Pourtant, le vrai cauchemar commence...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

NOTES DE PRODUCTION

 

« L’idée qui préside à Wolf Creek est dans ma tête depuis environ six ans »  explique Greg McLean, producteur, scénariste et réalisateur de Wolf Creek, « lorsque j’ai écrit la première version du film. Il y avait au départ la notion d’un personnage terrifiant, solitaire, vivant dans le désert australien. Un personnage qui est tout le contraire des clichés du bushman australien classique, véhiculé par des films comme Crocodile Dundee ou Steve Irwin (cascadeur, animateur de télé et faux tueur de crocodiles ayant joué notamment dans Dr Doolittle 2). A savoir sain, débrouillard, éternellement content, avec un charme naïf et une vision enfantine du monde. Ce sont deux de nos plus populaires exportations culturelles, mais qu’adviendrait-il si nous imaginions un personnage illustrant les aspects les plus sombres, les plus sinistres et les plus monstrueux de cet archétype australien. Si nous imaginions un Boogieman (père fouettard) typiquement australien. Au fur et à mesure que le scénario se construisait, plusieurs  « vrais  Boogiemen »  australiens sont réapparus. Des personnages si horribles que c’était comme si eux et leurs crimes jaillissaient directement de l’imagination d’un écrivain dont le but serait de nous épouvanter, et de faire cesser à coup sûr les virées du dimanche après-midi dans la campagne australienne.

 

Ivan Milat (le tueur de campeurs), Bradley Murdoch (responsable du massacre de Peter Falconio) et les tueurs en série de Snowtown ont abasourdi les Australiens et terrifié les observateurs étrangers. Ils ont commis des crimes caractérisés par une violence jamais égalée, une brutalité et un sang-froid hors du commun. L’Australie, autrefois la plage favorite du monde entier, devint un endroit où des hommes solitaires, désaxés, et obsédés par le meurtre arpentaient des autoroutes désertées, à la recherche de touristes vulnérables et loin de chez eux.

 

Alors que Wolf Creek n’est basé sur aucune histoire ni aucun cas particulier, Mick Taylor est le bâtard de tous ces hommes et de leurs crimes affreux.

 

 

« C’était mon intention de faire de Wolf Creek un film inoubliable, choquant et vraiment effrayant. Et qui soit aussi nettement australien. Le style général du film m’a été fortement inspiré par l’intrusion du Dogme dans le cinéma européen. Par l’arrivée des cinéastes danois menée par Lars Von Trier, à l’origine d’une révolution numérique. Ces metteurs en scène se libéraient du fardeau des films à gros budget : décors naturels, éclairage et bruitage sonore réduits, tournage en vidéo numérique, et concentration de toute leur énergie sur des récits novateurs  et le jeu des acteurs .

 

J’ai sincèrement admiré leur cinéma original et audacieux : Parmi eux, Breaking the Waves, Les Idiots, Festen (Thomas Vinterberg) et Dancer in The Dark. Et même si nombre de leurs idées de départ furent écartées au fur et à mesure de leur succès, elles servirent à prouver que filmer de cette façon recentre un film sur ses éléments essentiels et repose la question suivante: de quoi avez-vous besoin pour faire un bon film ?  Leur réponse était : une grande idée, d’excellents acteurs et une caméra numérique. J’ai d’ailleurs tourné Wolf Creek avec une caméra haute-définition et des objectifs adéquats, également utilisés pour Star Wars Episodes 1 et 2 et Desperado 2 : Il était une fois au Mexique (de Robert Rodriguez).

 

J’ai mis en application d’autres éléments du Dogme, économie de moyens, importance du script et du jeu des comédiens. Ainsi que mes éléments préférés du film d’horreur classique : un récit à l’épine dorsale solide, peu de personnages, un lieu isolé et un monstre unique et inoubliable. J’ai décidé, probablement dans mon subconscient, de mélanger tout ça pour créer Wolf Creek. »

 

« De plus, J’ai toujours adoré depuis l’enfance les films d’épouvante, de science-fiction et d’horreur. J’ai longuement étudié la peinture et le dessin, je me destinais du reste au métier de peintre, et je remplissais mes carnets de dessin des monstres  de « Conan le Barbare », des super-héros des Marvel Comics, des personnages de La Guerre des Etoiles et des créatures de la série des Contes de la Crypte. Ma mère me laissait regarder les films d’horreur anglais de la Hammer. Donc j’imagine, rétrospectivement qu’on pourrait dire de cette mise en scène conçue pour Wolf Creek qu’elle est une rencontre d’un art élevé et d’un art inférieur, une histoire classique de père fouettard qui utiliserait les techniques d’un cinéma d’art pour aboutir à une expérience cinématographique originale.

La réaction au film, jusqu’à présent, a été intense et fascinante. Que ce soit dans un sens positif ou négatif, tout le monde a été touché par Wolf Creek ; ce qui est bien parce que tout est mieux qu’une réaction terne ou inexistante. Wolf Creek est définitivement une œuvre que j’ai essayé de transformer en engin explosif cinématographique. Ca m’excite beaucoup de faire naître ce film et de voir quelle vie il a , une fois que lui et le Boogie Man qu’il contient sont lâchés. »

 

Il y a dans le film des séquences extrèmement violentes. Greg McLean fait tout de suite remarquer que l’usage de la violence dans le film a été soigneusement pensé : « Wolf Creek contient des scènes explicites et denses, des scènes dérangeantes. Cela dit, mon film explore le côté sans éclat et banal de la violence puisqu’il est par certains côtés la plongée d’un voyeur dans le monde du mal à l’état pur. Je crois que c’est le travail d’un artiste de « ne pas détourner les yeux » de notre monde et de l’expérience humaine : à la fois dans les pires moments de souffrance et les plus beaux instants de joie. »

 

Sur le fait que Wolf Creek ait été accepté par le festival de Sundance, Greg McLean déclare : « J’ai toujours aimé les histoires avec lesquelles j’ai grandi, sur des lumières étranges dans le ciel, des Ovnis et sur des gens qui disparaissent lors d’un voyage dans le désert. L’Australie est un pays magique avec des aspects étonnants et pourtant terrifiants, et je voulais vraiment mettre un visage sur la peur innommable de ce qui rode la bas, sur ces grandes autoroutes solitaires. Pour quelqu’un qui a grandi dans une  petite ville et qui a vu quelques uns de ses héros participer aux plus grands festivals et débuter leur carrière (Steven Sodebergh avec Sexe, mensonges et Vidéo, Spike Lee et Do The Right Thing, Quentin Tarantino et Reservoir dogs), c’est un grand honneur et la réalisation d’un rêve d’être invité à présenter notre petit film d’horreur dans le pays qui a réellement inventé le genre. »

 

 

CASTING

 

Dès le départ, Greg précisa à la directrice de casting Angela Heesom que récupérer des grands noms d’acteurs pour Wolf Creek n’était pas à l’ordre du jour. «  La seule chose importante , c’était de voir dans quelle mesure les acteurs seraient détendus et naturalistes dans leur jeu et à quel point ils comprendraient le style du film, c’est à dire une mise à distance de l’action. Cassandra, Nathan et Kestie furent un cadeau du ciel, parce que non seulement ce sont des comédiens formidables mais ils ont incarné totalement l’esprit du film. Et John Jarratt, le vétéran, avait une telle maîtrise de lui sur le plateau…. Bref, c’était un cast de rêve. Je pense vraiment que bien mettre  en scène c’est avant tout  savoir choisir son casting. Dans le cas de Wolf Creek, il donne au film sa qualité organique et son rythme propre. »

 

DIRECTION ARTISTIQUE ET DE LA PHOTO

 

J’ai toujours voulu que le style graphique de Wolf Creek soit ultra réaliste et semi documentaire. En recréant, presque image par image, les dessous d’une véritable affaire criminelle. La raison qui m’a poussé à aller dans ce sens est que lorsqu’il y a un élément de « vérité » associé à un film d’horreur, les spectateurs deviennent plus facilement complices. Des faits basés sur la réalité permettent au public de croire en ce qu’il voit et ainsi de le rendre plus réactif. J’ai d’autres prédécésseurs : L’Exorciste (William Friedkin), Amityville, la maison du Diable (Stuart Rosenberg), Massacre a la tronçonneuse (Tobe Hooper), et Blair Witch Project (Daniel Myrick et Eduardo Sanchez). Tous ces films ont joué avec l’idée qu’ils étaient basés sur des évènements réels. C’est Stephen King qui disait : « Si on n’y croit pas, il n’y a pas de peur possible. » Cette maxime du maître de l’horreur a constamment prévalu à la préparation de Wolf Creek.

 

 

 

 

 

 

POST PRODUCTION / MUSIQUE / SON

 

Le film a été entièrement post-produit à Adelaide, Australie du Sud, par la société Oasis Post Production. Marty Pepper et Dale Roberts ont supervisé le processus, Marty étant chargé personnellement de la création de tous les effets visuels digitaux, matte paintings digitales et dosage des couleurs. Pete Smith et Pete Best ont géré le montage et le mixage du son dans les locaux de Best FX à Adelaide. Ils ont travaillé en relation étroite avec le compositeur François Tetaz. « Nous avons toujours songé à une bande originale électronique, abstraite et qui se développe graduellement», explique François Tetaz, «de manière à ce que dans la seconde moitié du film elle puisse devenir plus soutenue et plus dramatique.  Il fallait être raccord avec le ton du film et éviter les clichés du genre ; nous n’avons pas essayé de faire peur avec la musique. Mais elle ne se contente pas de sous-tendre le récit, elle agit aussi de bout en bout de façon émotionnelle et poétique. 

 

 

COLLABORATION ARTISTIQUE

 

JOHN JARRATT (MICK TAYLOR)

 

John Jarratt revient au grand écran dans le rôle du sanguinaire Mick Taylor. Depuis 73, date de son diplôme de la NIDA, sa carrière a couvert tout ce que peut offrir le théâtre, le cinéma et la télévision. Faisant de lui l’une des personnalités les plus renommées d’Australie.

 

A son palmarès : Pique-Nique à Hanging Rock (Peter Weir-1975), We of the never never (Igor Auzins-1982), The Odd Angry Shot (Tom Jeffrey-1979), Dead Heart (Nick Parsons-1996) et All Men Are Liars (Gerard Lee-1995) pour lequel l’acteur a obtenu de nombreuse récompenses. A son actif également plusieurs séries de télévision dont McLeod’s Daughters (1996) et Better Homes and Gardens (1996).

 

 

 

CASSANDRA MAGRATH (LIZ HUNTER)

 

Issue d’une longue lignée d’acteurs et de danseurs, Cassandra Magrath débute sa carrière à l’âge de 11 ans, désireuse de jouer depuis déjà longtemps. La jeune femme se souvient notamment qu’en classe de CM1 elle déclara à sa maîtresse d’école que plus tard elle serait comédienne, provoquant ainsi l’hilarité de ses camarades.

Inscrite par sa mère à une agence de casting, peu de temps après cet épisode, Cassandra est prise dès sa première audition pour jouer Zoe dans le programme pour enfants, Ocean Girl (1994-1995). Seule exigence déroutante, une étrange coupe de cheveux imposée par les producteurs. 

 

Happée par la télé australienne, la très jeune comédienne s’impose rapidement dans d’autres séries, The Wayne Manifesto (1996), Hotel de Love (1996), Sea Change (1998) dont elle apprécia particulièrement le personnage, Crash Zone (1998) et Shock Jock (2001).

 

Cassandra Magrath adore également la photo et aime particulièrement saisir des visages à la dérobée ainsi que le contraste entre la nature et les structures établies par l’homme.

 

Wolf Creek est son deuxième long-métrage après Hotel de Love (Craig Rosenberg) tourné en 96.

 

KESTIE MORASSI (KRISTIE EARL)

 

Wolf Creek est le huitième long-métrage de Kestie Morassi, vite devenue l’une comédiennes australiennes les plus prolifiques de sa génération. Avec des rôles dans des œuvres telle que Josh Jarman (2004), Thunderstruck (2004), Strange Bedfellows (2004), Travelling Light (2003), Darkness Falls (2002, sorti en France sous le titre de Nuits de terreur), The Merchant of Fairness (2002) et Dirty Deeds (2002), l’ensemble du travail de cette native d’Adelaide démontre un registre de jeu imposant.

NATHAN PHILLIPS (BEN MITCHELL)

 

En quatre ans, Nathan Philipps a accumulé les rôles dans pas moins de sept long-métrages. A commencer par Australian Rules (Paul Goldman), présenté au festival de Sundance en 2002. Suivent Warriors of Virtue 2 (Michael Vickerman) tourné en Chine, la comédie Take Away (Marc Gracie-2003) dans lequel il incarne Dave, et One Perfect Day (Paul Currie-2004). Après un intermède américain consacré sur plusieurs mois à diverses auditions, Nathan se voit proposer le personnage central de Under The Rader (Evan Clarry-2004).

 

L’année 2005 est celle du grand écart entre l’adorable Philip de la comédie You and Your Stupid Mate (Marc Gracie) et bien sûr, Ben Mitchell, post-ado sans-souci, de Wolf Creek.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ÉQUIPE TECHNIQUE

 

GREG MCLEAN – RÉALISATEUR/SCÉNARISTE/PRODUCTEUR

 

Scénariste, réalisateur et producteur depuis plus de dix ans, Greg McLean a travaillé pour le théâtre, le cinéma et la télévision.

 

Formé aux Beaux-Arts, Greg McLean rejoint le National Institut of Dramatic Art (NIDA) où il obtient un diplôme de mise en scène. Il travaille avec l’un des metteurs en scène de théâtre les plus respectés en Australie, Neil Armfield, et les comédiens Geoffrey Rush, Cate Blanchett et Richard Roxburgh sur l’adaptation à succès d’Hamlet. Il intègre ensuite l’équipe de Baz Luhrmann et Catherine Martin au sein de laquelle il collabore à la production de Songe d’une nuit d’été pour l’Opéra Australien et à la pré-production du film de Baz Luhrmann, Romeo + Juliette. Il devient alors directeur de l’OzOpera, la branche itinérante de l’Opéra Australien, pour lequel il met en scène La Flûte enchantée de Mozart. Parmi les mises en scène de Greg McLean en indépendant, citons Equus (d’après Peter Shaffer), A Property of the Clan (d’après Nick Enright, du NIDA) et Comme il vous plaira (de Shakespeare).

 

Au cinéma, Greg McLean a participé à plusieurs courts-métrages en tant que réalisateur ou producteur. Son premier court métrage, Plead, a remporté le Gold Award de l’Australian Cinematographers Society (ACS). Son dernier, ICQ, a participé à de nombreux festivals à travers le monde dont le New York International Independent Film and Video Festival, où il a gagné le prix du meilleur metteur en scène. ICQ a également reçu le Silver Award de la photographie remis par l’ACS.

 

Sous la bannière de sa société de production GMF, Greg McLean a produit et réalisé plusieurs dizaines de publicités, films institutionnels et clips. Une activité qui lui a permis d’expérimenter de nombreux styles de mise en scène, de méthodes de travail et de techniques. Ces quatre dernières années, McLean a écrit plusieurs scénarios dans des genres aussi variés que le thriller, le drame et la comédie romantique. Wolf Creek est son premier long-métrage.

 

 

DAVID LIGHTFOOT – PRODUCTEUR

 

David Lightfoot débute comme stagiaire à la South Australien Film Corporation en 1982. Après avoir travaillé comme assistant de production puis assistant-réalisateur, il devient l’un des producteurs exécutifs les plus réputés d’Australie. Il travaille avec des réalisateurs renommés comme Rolf De Heer (Bad Boy Bubby, 94) et Paul Cox (Innocence, 99). Producteur de la mini-série Three Forever (96) et du film Spank ! (98), co-producteur et producteur exécutif de The Sound of One Hand Clapping (97) et producteur exécutif de Japanese Story (03). Lightfoot est également le fondateur du Garage Shorts Film Festival, festival de courts-métrages australiens ayant lieu à Adelaide et dont le lauréat remporte un séjour, tous frais payés, au Festival de Cannes.

 

 

MATT HEARN – PRODUCTEUR EXÉCUTIF ET CO-PRODUCTEUR

 

Après une décennie passée dans la publicité, le marketing et le développement de produits, Matt Hearn devient producteur exécutif pour la société australienne d’effets spéciaux, Rising Sun Pictures, au sein de laquelle il travaille sur des films tels que Fusion-The Core, La Reine des damnés et Planète rouge. Depuis qu’il a co-produit certains de ses clips vidéos, Matt Hearn, fondateur et directeur de la jeune société 403 Productions, est resté fidèle à Greg McLean. Il s’est battu à ses côtés pour que Wolf Creek voit le jour. Wolf Creek est la première collaboration entre 403 Productions et Greg McLean, qui ont plusieurs projets en chantier.

 

 

 

 

 

 

 

 

GARY HAMILTON – PRODUCTEUR EXÉCUTIF

 

Gary Hamilton débute sa carrière en 1978 comme rédacteur au sein de Hoyts Movie News, seul magazine australien de l’époque sur le cinéma, pour lequel il devient ensuite responsable de la publicité et de la distribution. En 1980, il est responsable des ventes pour United Artists, chargé de la distribution dans les salles australiennes. En 1984, il quitte l’Australie et prend la tête de la Commission du Cinéma Australien en Europe. Il parcourt alors les festivals et marchés à travers le monde pour aider au financement et à la vente des films australiens parmi lesquels on trouve des œuvres telles que Sweetie et La Leçon de piano de Jane Campion ou The Navigator de Vincent Ward. Il entretient ainsi une relation suivie avec les plus grands cinéastes et producteurs australiens. En 1990, il retourne en Australie où il crée Beyond Films, la première société australienne de vente de films à l’étranger. En dix ans, Beyond Films passe d’une équipe de 2 personnes et d’un capital de 2 M$ à 13 employés et 20 M$ de fonds. Au sein de sa société, Hamilton acquiert, vend et fait la promotion de plus de 150 films dont l’un des plus gros succès australiens à l’international, Ballroom Dancing. Également à son actif, les films Love Serenade, Chopper et Two Hands. Beyond Films a participé au lancement des carrières du réalisateur Baz Luhrmann et de stars telles que Russell Crowe, Cate Blanchett, Hugh Jackman et Heath Ledger.

 

En avril 2002, Hamilton créé Arclight Films. Cette société de production et de ventes internationales s’associe avec The Spice Factory, l’une des boîtes de production les plus prolifiques du Royaume-Uni. Leur objectif est de produire et vendre des films à moyens et gros budgets en capitalisant sur les subventions offertes en Europe, au Canada et en Australie.

 

L’an dernier, Hamilton inaugurait Darclight, une nouvelle division de la société consacrée aux films de genres. A son actif: le film d’horreur The Last Sign interprété par Andie McDowell; le film d’arts martiaux futuriste Silverhawk avec Michelle Yeoh; The Twins Effect, plus gros succès hong-kongais de l’année 2003, avec Jackie Chan et des combats chorégraphiés par Donny Yen (Blade 2); et Deck Dogz, écrit et dirigé par Steve Pasvolsky (nominé à l’Oscar du meilleur court-métrage pour Inja) avec le champion du monde de skateboard Tony Hawk.

MARTIN FABINYI – PRODUCTEUR EXÉCUTIF

 

Martin Fabinyi est l’un des dirigeants de Mushroom. Producteur des films Gettin’ Square et Cut, producteur exécutif de Chopper et Horseplay, Fabinyi a également travaillé à la production du documentaire Tribal Voice consacré au groupe de musiciens indigènes australiens Yothu Yindi (diffusé sur la chaîne Discovery et ABC-TV), des programmes télés Next to Nothing et Nothing to Hide (diffusés sur la chaîne National Geographic et the Nine Network) et des émissions musicales Kate Ceberano & Friends, The Singer & the Swinger et Counting the Beat.

 

 

 

 

MICHAEL GUDINSKI – PRODUCTEUR EXÉCUTIF

 

Fondateur de Mushroom Records en 1972, Michael Gudinski est l’un des dirigeants les plus productifs d’Australie. Le groupe Mushroom, dont il est le patron, comprend les filiales Mushroom Pictures, Mushroom Music Publishing, Frontier Touring et le label musical Liberation Music. Gudinski a co-produit l’un des plus gros succès australiens de l’année 2000, Chopper. Il a aussi été responsable, via Mushroom Pictures, de la production exécutive des films Cut et Horseplay.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

WILL GIBSON – DIRECTEUR DE LA PHOTOGRAPHIE

 

Le travail de Will Gibson couvre un spectre très large de styles et formats. Luxueux spots de pub en 35 mm., documentaires en 16 mm., unitaires télévisés, courts métrages en pellicule ou vidéo numérique lui ont apporté une riche expérience de l’image.

 

La carrière de Will Gibson débute à Melbourne au sein de Lemac Films, d’où sont issus les meilleurs techniciens australiens. « Travailler cinq ans à Lemac m’a permis de toucher à la plupart des postes techniques, d’ingénieur du son à monteur en passant par opérateur caméra, confie Gibson. Dans un deuxième temps, je me suis spécialisé comme caméraman, me faisant les dents sur différents styles et formats : clips, films institutionnels, documentaires, télévision… En tant que directeur de la photo, j’ai travaillé pendant plus de 9 ans dans la publicité et le documentaire y apprenant à créer de belles images tout en respectant les contraintes de temps et de budget. C’est ainsi que s’est bâtie ma réputation. »

 

Wolf Creek est le premier long-métrage de cinéma auquel participe Will Gibson.

 

ROBERT WEBB – CHEF DÉCORATEUR

 

Robert Webb commence sa carrière comme directeur artistique et décorateur sur des films d’époque, profitant de ses connaissances acquises lorsqu’il était antiquaire. Il a travaillé sur de nombreux films tournés dans le Sud de l’Australie.

« Les nombreux pôles artistiques au sein desquels j’ai travaillé à Adelaide m’ont permis de découvrir des lieux que je n’aurais jamais visités autrement. On me dit souvent que les équipes de tournage ne peuvent plus se passer de mon enthousiasme presque enfantin. Il est vrai que je me projette dans le scénario comme si c’était moi qui le vivais. J’aime l’idée de donner vie à un script et je prends un énorme plaisir à offrir tout ce qui est en mon possible pour y parvenir. »

Wolf Creek est le premier long-métrage de Robert Webb en tant que chef décorateur.

 

NICOLA DUNN – CHEF COSTUMIÈRE

 

Nicola Dunn travaille dans l’industrie de la mode et du cinéma depuis une décennie. Diplômée de la Whitehouse School of Fashion de Sydney, elle débute comme assistante de styliste free-lance puis assistante des rédactions mode de Studio Magazine et Studio Brides. Elle déménage ensuite en Europe puis à New York où elle intègre le milieu du cinéma en participant à des clips, courts métrages et pubs télés. De retour en Australie, elle s’installe à Melbourne et devient styliste de mode free-lance tout en continuant à offrir ses services au cinéma. Chef costumière sur quatre courts-métrages et plus de soixantes pubs télés, elle a travaillé pour des clients tels qu’Adidas, Nokia, Heineken et des célébrités comme Heath Ledger, Guy Pearce et Brian Brown.

 

 

 

 

 

JASON BALLANTINE – MONTEUR

 

Né à Adelaide en 1970, Jason Balantine possède une licence en Arts Visuels 1989-1992 de l’Université d’Australie du Sud avec une spécialisation en Photographie. Durant ses études, il remporte le S.A. Young Film Maker’s Award deux années consécutives (90-91). Sa carrière professionnelle démarre en 1992 au sein de la section Post-production de Network 8 où il travaille comme assistant-monteur pour des pubs télés, des documentaires et des courts-métrages. En 1994, il part pour Sydney. De 1er assistant monteur à monteur des effets visuels, il travaille sur les films Babe, Babe 2, Dark City, Komodo, Mission : Impossible 2, Moulin Rouge, Cœurs perdus en Atlantide, Traqueur de croco en mission périlleuse, Un américain bien tranquille, Star Wars : Episode 2 et 3 et Happy Feet.

Ballantine est également professeur agréé en montage AVID.

Wolf Creek est son premier long-métrage en tant que chef monteur.

 

JEN LAMPHEE – COIFFURE ET MAQUILLAGE

 

Depuis 14 ans, Jen Lamphee a travaillé pour une grande variété de films et programmes télévisés. Sa carrière débute dans la coiffure et s’oriente très vite vers des défis plus créatifs. Elle élargit sa palette en suivant une formation au maquillage pour le théâtre et le cinéma. Après de l’assistanat sur des téléfilms, elle fait sa première impression en tant que conceptrice des coiffures et maquillages du film Kiss or Kill, lauréat du AFI Award. Elle déménage alors à Melbourne, y travaille sur Hurrah and Crackers, puis s’installe à Sydney où elle vit encore aujourd’hui. Jen a collaboré aux séries télé Big Sky, Young Lions, Small Claims et la série de science-fiction américaine Farscape. Cette dernière, pour laquelle elle créait chaque semaine plusieurs dizaines d’extra-terrestres, a prouvé  son savoir-faire et sa créativité en matière de maquillage prosthétique.

Parmi les films sur lesquels elle a exercé ses talents, on trouve In a Savage Land, Cut, Sample People, Subterano, Airtight et l’adaptation américaine du comic Marvel, Man Thing. Elle vient de finir les tournages de Peaches, (avec Hugo Weaving) et Pobby and Dingan, le nouveau film de l’Anglais Peter Cattaneo (The Full Monty).

 

 

PETE BEST – MONTEUR ET DESIGNER SON

 

L’ambition de Pete Best est de faire honneur à son exceptionnelle notoriété au sein de l’industrie cinématographique du Sud de l’Australie comme designer sonore et producteur, à l’origine de travaux unanimement respectés aux niveaux local, national et international.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

RICK & CHARMAINE CONNELLY – EFFETS SPÉCIAUX DE MAQUILLAGE

 

La carrière de Rick Connelly dans les effets spéciaux de maquillage débute en 1991 au sein de la filiale australienne de la chaîne ABC et pour divers pubs télés. Depuis, il a participé à différents films et programmes télés australiens et internationaux. Depuis 1992, Rick Connelly donne également des cours d’effets spéciaux de maquillage afin de partager sa passion et ses compétences dans ce domaine. Il devient un conseiller de valeur pour nombre d’écoles de maquillage et autres institutions artistiques comme le National Institut of Dramatic Arts. L’Australian Society of Make-Up Artists (ASMA) lui a remis ses prix d’excellence pour son travail sur Chopper (01) et La Reine des damnés (02).

 

Charmaine (Wade) Connelly commence une carrière de coiffeuse en 1988 qui lui vaut, en 1993, le IHS Northern NSW Senior Hairdresser de l’année. Elle aborde une carrière de maquilleuse en 1996 et, à partir de l’année suivante, suit les cours de Rick Connelly. Elle déploie ensuite ses talents en coiffure, maquillage et maquillage prosthétique pour des publicités, films et productions télévisées australiennes et internationales. Elle enseigne également au sein de différentes écoles, dont les cours de Rick Connelly depuis 1998.

 

Rick et Charmaine se sont mariés en 1995 et ont créé la Connelly Make-Up FX Team en 2000.

 

 

PETE SMITH – MIXEUR SON

 

Durant ses 25 ans d’expérience dans la post-production sonore pour la télé et le cinéma, Pete a travaillé au mixage de plus de 50 films et 22 séries télé parmi lesquels Look Both Ways, Anacondas (II), Somersault, Deck Dogz, Peaches, Thunderstruck, Japanese Story, The Nugget, Swimming Upstream, Inspecteur Gadget II, Honourable Wally Norman, Paradise Found, Charlotte Gray, Tempted et Walk The Talk. Il a reçu 5 nominations et récolté 4 AFI Awards du meilleur son.

 

FRANCOIS TETAZ – COMPOSITEUR

 

François Tetaz compose des musiques pour le cinéma, le théâtre et divers autres supports. Il a récemment mis en musique les films The Hard Word, Thunderstruck et Wolf Creek, les ballets Tense Dave de Chunky Move et Melt de Lucy Guerin ainsi que l’exposition de l’artiste Patricia Piccinni à la Biennale de Venise en 2003. Tetaz est également producteur de plusieurs artistes indépendants. Il est aussi directeur et ingénieur en chef chez Moose Mastering.

 

François Tetaz a longuement collaboré avec la compagnie de danse et de théâtre contemporains Chunky Move pour leurs spectacles Arcade, Crumpled and Corrupted, Crowds et, plus récemment, Tense Dave en 2003. Il a également travaillé pour les compagnies de Lucy Guerin, Kage, Shelley Lassica et du chorégraphe Gerard Van Dyke.

 

En tant que producteur de disques, on lui doit des contributions auprès d’artistes tels que Lior, High Pass Filter, Biftek, SNOG, Casanovas, Paul Schutze, David Bridie, Bucket Rider, Paul McDermott, Selena Cross et James Anderson. Il est également réputé pour ses installations au service de l’artiste de Melbourne, Patricia Piccinni, pour des œuvres telles que Sandman en 2002 et We are Family en 2003.